• Dans cet épisode de la Belle et la Bête, Maître Panille avait réussi à récupérer une partie de ses biens. Dans l’euphorie, alors qu’il savoure un bon repas, négligeant toute prudence, il va se faire arnaquer par deux marloupins que nous connaissons, Durenard et Lechat.
    Chronologiquement, cette aventure arrive donc avant Pinocchio me semble-t-il avec déjà une arnaque dans une auberge !!!
    Oui, mais bon, un verre ça va, plus que trois, bonjour les dégâts
    … 

    L’arnaque   


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  • La Fontaine était resté fidèle à Fouquet son protecteur et surintendant des finances emprisonné en 1661pour avoir obscurci l’éclat de Louis XIV. Il n’eut donc jamais les faveurs de la cour.
    Lorsqu’il écrivit Le Renard et l’Écureuil cette fable trop explicite sur son soutien à son ancien protecteur, il ne la publia pas pour éviter les ennuis. Elle circulera sous le manteau et ne sera éditée que deux siècles plus tard en 1861.
    Voici donc avec Le Lièvre et la Perdrix (Livre V Fable 17) une version plus neutre. En voici l’histoire, la version de Phèdre qui était la vraie inspiration de la fable et les deux fables (fausses jumelles) qui ont la particularité de commencer avec les même quatre premiers vers.

    Le Lièvre et la Perdrix   


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  • Avec cette fable sur le rapport entre la réalité et le virtuel des réseaux sociaux, Éric Lartigau et Thomas Bidegain ont vraiment écrit l’histoire pour Alain Chabat, tellement il est fidèle à son image de fausse naïveté, de tendresse de relationnel en se montrant toujours autant charismatique. Quelques imperfections et des seconds rôles un peu éclipsés par des figurants excellents ne nous fait pas oublier ce joli voyage en Corée haut en couleurs. 

    Je suis là   


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  • Après Le Dindon qui n’avait pas trouvé son public (j’étais aussi un peu déçu), Dany Boon revient dans cette parodie de film d’espionnage qui se révèle intéressante avec une histoire originale non dénuée d’émotion, même si elle est un tantinet surréaliste et exagérée.
    Un duo avec Philippe Katherine qui tient la route sans qu’il soit besoin de chercher des comparaisons avec d’autres films. Chaque film est différent avec sa personnalité. Nous sommes bien dans la vocation du cinéma de divertissement. Nous faire oublier la grisaille du quotidien. Ce film rempli cet objectif et ne le boudons pas en jouant les intellos.  

    Le Lion  


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  • Invité par le Rotary club section de Bron ‘’69500’’ pour l’action caritative L’Espoir en Tête sur la recherche des affections du cerveau, (Alzheimer, parkinson, autisme, syndrome d’asperger) à l’avant-première du film le Prince oublié au cinéma Les Alizés de Bron, je ne m’attendais pas à ce que ce soit pour mes qualités « humaines » en adéquation avec celle de cette association internationale, puisque l’invitation spécifiait en votre qualité de critique cinéma !!!!

    J’ai compris en discutant avec la présidente que c’était juste pour me faire plaisir sans aucune contrepartie. Voici donc et c’est la moindre des choses pour remercier, ma critique du film et un petit préambule sur le Rotary et la FCR en charge de la recherche médicale. 

    Le Prince oublié   


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