• Avec le sketch Les cintres, dans son spectacle au Théâtre Grévin en 1986, Pierre Desproges nous a régalés de son humour ravageur et de l’incroyable maîtrise de la langue française et de ses figures de style au service de l’humour, qu’il partage avec Raymond Devos. Dans des genres différents ils sont tous deux, les magiciens des mots. Prenons en exemple un de mes textes préférés que je réécoute encore aujourd’hui et lorsque je choisi un pantalon dans mon armoire, je fais attention.

    Mais lisez : Les cintres   


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  • Un véritable régal. Après les détonants Agents Très Spéciaux, Le Roi Arthur et les deux Sherlock Holmes. Guy Richie confirme sa maitrise des films policiers et surtout de gangsters, décalés et jubilatoires.
    Avec un scénario et une mise en scène au cordeau ainsi qu’un casting de haut rang, nous avons un film brillant, glamour, décalé, jubilatoire confirmant le talent avéré du réalisateur entouré d’acteurs qui se sont fait plaisir et nous ont communiqué leur enthousiasme. Du beau et du grand spectacle.
     

    The gentlemen   


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  • Avec à la réalisation, Manele Labidi, réalisatrice franco-tunisienne et la craquante Golshifteh Farahani franco-iranienne en actrice principale, nous avons un film touchant, drôle, nuancé, intelligent, non subversif et sans pathos qui secoue les préjugés d’une société pas tout à fait libérée. Malgré les interdits, reconnaissons que dans ce microcosme, les individus « différents » ou névrosés rencontrent une tolérance qui manque parfois dans notre culture occidentale. Plébiscité par la presse et largement apprécié des spectateurs, ce film est un petit diamant sur canapé ou plutôt sur divan. Le cinéma français montre ici sa diversité en mettant en avant, ce qu’il peut y avoir de plus beau dans n’importe quelle société.  

    Un divan à Tunis   


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  • Il y avait longtemps, depuis Le Glaive ou la Balance avec Anthony Perkins et Jean Claude Brialy en 1962 et L’Hermine avec Lucchini et Sidse Babett Knudsen en 2015 que je n’avais vu un film de procès où le doute qui doit bénéficier à l’accusé est si problématique ! Faut-il condamner un innocent ou remettre en liberté un coupable ? Ce film de Demoustier plébiscité par la presse et les spectateurs vaut le détour. Magistral de pudeur et de véracité. 

    La fille au bracelet  


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  • Après ‘Suicide Squad’ ‘Once upon a time in Hollywood’, puis ‘Scandale’ en janvier voilà Margot Robbie dans Birds of Prey en héroïne totalement déchainée et déjantée où elle montre toutes les facettes de ses talents ! Elle reprend le rôle d’Harley Quinn qui doit s’émanciper après avoir été larguée par le Jocker et de ce fait se retrouve pourchassée par tous les méchants qu’elle avait quelque peu ‘’maltraités’’ et surtout par Black Mask. Elle devra s’allier avec trois autres femmes même si tout les oppose.

    La fantabuleuse histoire  


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