• Pierre Desproges détestait la bêtise humaine qu’il fustigeait dans ses pensées, maximes, aphorismes, certaines étaient assez prémonitoires de notre marasme actuel. Il se moquait aussi des morales classiques des fables comme ici où, alors qu’il était considéré comme misogyne, il prouve son amour respectueux de la femme capable d’être plus libertine que le macho de base.

    Mais voirfable érotico-cocorico.   


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  • Quel plaisir de voir avec, Une belle équipe de Mohamed Hamidi, un féminisme dénué d’agressivité, qui se montre débordant d’énergie avec des actrices magnifiques, charismatiques et qui forment une vraie équipe, soudée et complices. Les Hommes, sont tout aussi investis, menés par un Kad Merad sobre et un Alban Ivanov génial de naïveté et de maladresse. Une belle histoire qui met en valeur le dynamisme des petits clubs de nos villages.  

    Une belle équipe   


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  • Nous avons ici une adaptation magnifique de l’ouvrage Quatre filles du docteur March de Louisa May Alcott, qui est originale et servie par un casting d’exception, Qu’il s’agisse des femmes ou des hommes, leur relation est dans l’histoire, empreinte de respect, d’amour, de tolérance et qu’est-ce que ça fait du bien de nous échapper de notre quotidien tristounet et violent ou l’individualisme l’emporte sur la solidarité et le respect. De la musique au scénario, aux plans séquences et au jeu des actrices/acteurs, tout est parfaitement maitrisé. Critiques et spectateurs confirment la qualité de cette fiction d’époque et en costumes.

    Ȧ savourer sans modérationLes filles du docteur March   


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  • Jeanne-Marie Leprince de Beaumont, enseignante puis gouvernante de jeunes filles aristocratiques, créait des ouvrages pédagogiques et aussi quelques contes pour offrir un petit cadeau à celles qui avaient bien travaillé. La Belle et la Bête fut le conte le plus célèbre que Jean Cocteau avait magnifiquement mis en scène. 

    J’ai repris le scénario de l’auteure, madame Leprince de Beaumont, en respectant la trame et en l’actualisant dans le parler d’Audiard.  

    Voici le premier épisode – Un prince pas charmant   


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  • Sur fond de tango argentin et avec la voix magnifique de Sandra Rumolino, la réalisatrice-scénariste, nous offre une poignante histoire de famille qui se recompose par un prodigieux travail de résilience, grâce à ce petit garçon plein de vie, de naturel et excellemment dirigé, ce qui rajoute à sa crédibilité. Entourées de très bons seconds rôles, la grand-mère et la belle fille vont devoir doucement faire de petits pas, l’une vers l’autre. Mais comment sortir de cette toile d’araignée où Sol s’est engluée par son mensonge, du à sa peur du rejet ? 

    VoirSol  


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