• L’histoire originale nous montre à quel point la suppression de la deuxième partie du récit de Perrault, par les Grimm et chez de nombreux traducteurs et éditeurs comme chez Disney, édulcore l’histoire . Le prince épouse la belle endormie qui se réveille à son approche ; il est le fils d'une ogresse à laquelle il confie sans discernement femme et enfants pour aller à la guerre. La princesse devenue reine ne survit, et ses enfants avec elle, que grâce à la solidarité et à la pitié qu'elle inspire au Maître d'Hôtel de son ogresse de belle-mère. Voici donc la véritable histoire de la Belle au bois dormant en version fabulgone qui respecte le conte original.

    Episode 1 la naissance de la princesse

     


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  • Dans cette deuxième partie, nous avons la fin de la présentation du Biglotron qui se révèle un appareil qui symbolise le mouvement perpétuel. Pierre Dac nous montre ici tout son talent de créateur d'un vocabulaire qui n'appartient qu'à lui. Le plus drôle est qu'il a conçu un appareil surréaliste qui dans les années soixante a fait l'objet de nombreux sketchs repris en audio et surtout en vidéo que je conseille de voir sur YouTube et l'Ina.

    Fin de la visite de la base secrète avec la présentation du Biglotron


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  • Un drame familial où l'origine du mal serait lié à la naissance et la famille, mais ici le mensonge et l'argent sont les moteurs de ce mal. La comédienne Laure Calamy nous fait oublier la candeur et la douceur d'Antoinette dans les Cévennes avec une interprétation géniale de cette fille Stéphane, qui débarque dans une famille de riches dont les membres se tirent dessus à boulet rouge et qui va se révéler manipulatrice à son tour. Un film qui sort des sentiers battus, baroque, outrancier, effrayant, malsain, gênant, et non dénué d'un humour décapant. Jacques Weber, le patriarche est le seul acteur masculin entouré de femmes baroques et inquiétantes chacune à sa manière au sein et à l'extérieur de la famille. Impressionnant, un film à voir absolument pour cette galerie de personnages atypiques et un scénario original.  

    L'origine du mal : la famille l'argent le mensonge


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  • Paul Deschanel était un homme à la sensibilité exacerbée. Avec l'affaire du train, il avait fait l'objet d'une forte pression des médias qui relevaient tous ses excès publics. Travailleur acharné, il connut ce que l'on appelle aujourd'hui le burn-out, fatigué, dépressif, il était surtout désillusionné en constatant qu'il était relégué à l'inauguration des chrysanthèmes car sous la troisième République, le pouvoir était entièrement dans les mains du président du Conseil. Il démissionna après seulement 7 mois de fonction présidentielle, se soigna, guérit et devint sénateur. Hélas victime d'une mauvaise grippe il mourut brutalement le 28 avril 1922. A son actif il fut à l'initiative de la création des tribunaux pour enfants et de la liberté surveillée et entre autre partisan de l'abolition de la peine de mort. Il ne méritait pas d'être autant maltraité.

    Paul Deschanel président et sénateur


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  • Un film qui nous offre les retrouvailles de deux monstres sacrés Julia Roberts et Georges Clooney. Même les détracteurs de cette comédie romantique sans surprise saluent leur performance. Le thème de la relation parents-enfants et des ruptures par incompréhension est très bien scénarisé et tous les acteurs qui accompagnent les superstars ne sont pas des faire-valoir ; ils remplissent parfaitement leurs rôles, premiers ou seconds rôles. Le film réalisé pour le public remplit ses objectifs avec le plébiscite des spectateurs à 87%. Le décor paradisiaque est juste une plus-value.

    Ticket to paradise           


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