• Le réalisateur et scénariste engage son film sur les rails d'une étude de mœurs à la Chabrol, avant de le faire dévier vers le film noir à la Clouzot (les diaboliques), mâtiné de quelques scènes que n'aurait pas reniées Hitchcock. Cette critique lapidaire colle bien avec le film.

    Les Apparences   


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  • Dans cet épisode, Furax sans savoir que la police française brouille ses messages envoie sa troupe à la recherche des clandestins du fût 259. De leur côté, arrivés à Belfast notre duo de détective, ne trouve pas de bateau pour Benbecula alors il transforment le taxi en véhicule amphibie et prennent la mer. Socrate et Euthymènes, se font capturer par l'adjoint de Furax et refusent de répondre à ce dernier qui les fait enfermer dans une chambre froide où Asti les rejoindra. Black, White et Mac Intosh accostent à la plage de Benbecula et là...

    Tous à Benbecula    


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  • Surnommée l'Impératrice de la gastronomie lyonnaise, elle avait comme toujours à cette époque, fait ses classes en travaillant pour la bourgeoisie et en particulier chez un directeur d'assurances à Lyon. Avec son mari, marchands de vin, ils vont racheter un établissement porte-pots qu'il vont transformer en restaurant où elle officiera en cuisine et en salle.
    Sa création et spécialité, la poularde demi-deuil va traverser les décennies jusqu'à nos jours avec entre autre La Mère Brazier qui avait été formée par elle et qui à son tour, formera Paul Bocuse. Elle décèdera à seulement 60 ans en octobre 1925.

    La Mère Fillioux      


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  • Nana, la chienne adoptée par la famille Darling, se révéla une nounou d'exception. Elle avait même sa niche installée dans la chambre des enfants. Mr Darling émettait quelques réserves vite balayées par son épouse. Tout était parfait et cette famille mena une existence unie et heureuse. Peter Pan n'était encore pas intervenu pour rompre cette harmonie.

    Nana la nounou      


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  • Police est un titre trompeur. Anne Fontaine ne signe pas là son premier film policier mais continue son observation humaine dans un long-métrage porté par de superbes acteurs. C'est sans doute la différence des critiques, entre les professionnels de la Presse et les spectateurs qui se sont trouvés désemparés, ne rejetant pas les acteurs mais le scénario trop alambiqué pour leur attente. Dommage car malgré quelques maladresses et une histoire peu crédible au premier degré, ce n'est pas un film mauvais. (c'est mon côté Tarantino qui parle).

    Police drame psychologique     


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