• Les Vétos est un premier film de la réalisatrice et scénariste Julie Manoukian. Les critiques professionnels ne se sont pas bousculés au portillon, mais le public français confirme son attachement pour le milieu agricole.

    Il se moque comme de colin tampon d’une première œuvre qui comporte certes quelques menus défauts. Mais l’humour, l’émotion, le réalisme, le jeu de tous les acteurs, tout ici est une belle bouffée d’oxygène avec une touche craquante de fraîcheur et de spontanéité de la jeune Juliane Lepoureau qui s’accroche à la nouvelle véto.

    Une première œuvre à voirLes Vétos     


    votre commentaire
  • L’inconvenance pratiquée sans tabou et avec élégance était le créneau de Pierre Desproges. Est-il encore possible de se moquer  des racistes comme il le fit en 1986 ? Desproges est un pessimiste désespéré de la bêtise humaine. Il ne voulait pas être appelé humoriste. Il disait : c'est un mot grave et prétentieux comme "philosophe". Paraphrasant Baudelaire, il se déclarait "Spécialiste du plaisir aristocratique de déplaire".
    Le texte qui suit peut en faire grincer plus d’un. 

    Voir – Les rues de Paris ne sont plus sûres   


    votre commentaire
  • Pour mon premier film 2020, je suis allé voir la comédie musicale CATS malgré que l’on m’ait prévenu de critiques négatives que j’ai découvertes après la projection car je ne lis pas les avis avant.
    Effectivement ce film est assez éreinté par les professionnels, surtout à cause de ses défauts propres aux techniques cinématographiques avec l’utilisation de la motion capture qui transforme les humains en chat virtuel. De vrais costumes, moins « collants » auraient été appréciés. 
    Mais ceci étant, les chorégraphies les chansons et les décors sont magnifiques et le casting est irréprochable. Le film est désormais peu distribué dès la deuxième semaine, c’est dommage car c’est tout de même novateur.

    Il reste peu de possibilités de visualiserCATS   


    votre commentaire
  • Voilà : le feuilleton Pinocchio est arrivé à son terme. Cette histoire écrite par Collodi qui était aussi enseignant et auteur d’ouvrages éducatifs nous montre ici que pour échapper à la pauvreté, à l’ignorance et au malheur, l’enfant doit travailler de ses mains et s’instruire. Au cours de ce voyage imaginaire et initiatique, de ses déboires, le héros a bien mérité ce qu’il gagne : un papa une maman ou une grande sœur (la Fée) et la fin de la misère. L’aventure humaine de Pinocchio ne fait donc que commencer…

    Chaque épisode mérite plusieurs relectures pour en percevoir toute la symbolique.

    Pinocchio derniers épisodes   


    votre commentaire
  • Pour mon dernier film de 2019, je me suis fait plaisir en allant voir Charlie’s Angels qui est le nouvel opus des films de 2000 et 2003. Plus féministe et moins olé-olé que les premières versions, ce film réalisé par Elisabeth Blanks coscénariste et actrice (elle joue l’un des Bosley avec brio) assure totalement côté divertissement.
    J’ai été interpellé à la sortie, par une jeune femme souriante, la quarantaine (et quelques années), qui était venue avec ses trois filles 20/25 ans pour leur faire découvrir ceux qu’elle avait aimé.
    Elle voulait savoir si j’étais aussi fan, ce que j’ai confirmé. Ȧ priori, elle n’a pas relevé le côté plus féministe et a apprécié le talent de tous les acteurs et s’est bien retrouvée dans le côté kitch et joyeux des deux premiers opus et les clins d’œil aux deux films de base.
    Les trois filles étaient aussi ravies et contentes du choix de leur maman laquelle avait aussi pensé à « Sac d’os » dans le jeu du vrai méchant.
     
     

    Charlie’s Angels   


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique