• Todd Haynes réalisateur coproduit entre autres par Mark Ruffalo qui interprète l’avocat nous propose un film rugueux sans héroïsme, mais sobre et esthétique. La lenteur du scénario qui accentue la difficulté et le combat épuisant de celui qui n’a jamais baissé les bras, risquant jusqu’à sa propre santé pour obtenir réparation des victimes et gestion des déchets toxiques nous saisit à la gorge et nous ne sommes pas rassuré au final en comprenant que la lutte du pot de terre contre le pot de fer est toujours d’actualité.
    Un film fascinant plébiscité par les critiques et les spectateurs - à voir absolument.
     

    Dark Waters   


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  • Un film original, d'Antoine de Bary, surprenant et intriguant par ses métaphores, sur la recherche de soi, qui nous montre que la dépression peut se cacher derrière une fausse désinvolture qui contribue à provoquer et cumuler les échecs. Le jeu des acteurs est impressionnant de justesse, de dérision, de tendresse et d’amour. Un film qui n’est pas un film d’auteur ni un film tout public. Ȧ voir pour Vincent Lacoste, Emmanuelle Devos, Christophe Lambert et la jeune Noée Abita qui sera surement une grande actrice et se montre ici, solaire.   

    Mes jours de Gloire   


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  • Renée Zellweger est certainement l’interprète et le meilleur choix du réalisateur britannique pour son film biopic sur l’icône du cinéma hollywoodien, Judy Garland. Elle est tellement imprégnée de son travail préparatoire en amont que s’en est presque de l’autoportrait.
    Bien sûr elle porte le film, mais je fais partie de ceux qui reconnaissent la qualité de tous les actrices et acteurs qui gravitent autour d’elle et contribuent par leurs talents respectifs à la mettre en valeur.
    Un beau film qui s’adresse pour ce qui me concerne à toutes les générations. 

    Judy   


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  • Tout le monde connaît le début de cette fable de La Fontaine : Petit Poisson deviendra grand, pourvu que Dieu lui prête vie et aussi la morale : Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras.
    Ésope dans son texte avait mis en avant cette sagesse populaire que nous réécrivons parfois sous le vocable : ne pas lâcher la proie pour l’ombre et notre moraliste ne s’est pas cassé le bourrichon pour la rédaction de cette fable, presque du copier-coller.
    La création de mon illustration fut aussi un bon moment où je me suis mis en image.
     

    Le petit poisson et le pêcheur   


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  • Dans cet épisode, Maître Panille voit ses pensées et ses besoins satisfaits comme si le château était une entité vivante et bienveillante. De la lichaison et de la chicaison comme chez Bocuse ou chez Point à Vienne. Même au festival de Cannes, le Martinez, palace, est moins attentionné qu’ici. Ce brave bonhomme mérite d’être choyé. Nous sommes dans un conte de fées et les retournements de situation ne sont pas toujours au top. Alors profitons de cette pause.

    Episode 7 Château as-tu une âme    


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