Voici la suite de mon périple à Londres, ludique, beau et agréable.
Je suis sans doute le père, qui est l'un des plus chanceux au monde d’avoir trois filles aussi proches de lui. Elles m’offrent chacune à leur façon le témoignage de leur affection et je m’enrichis grâce à elles.
Cet épisode de mon séjour londonien en témoigne et ne peut que donner envie de visiter cette belle ville. Je vous laisse le soin de voir : 

De Peter Pan à Swiss court  

En ce lendemain de célébration de l'armistice de la première guerre mondiale, s’il devait rester un souvenir qui atténue les atrocités d’une guerre, qui fut tout de même les prémices de la fin des empires coloniaux et le prélude à un embrasement plus dévastateur vingt ans plus tard, comment ne pas rendre hommage aux soignants. Leur dévouement fut exemplaire, mettant sur le devant de la scène les femmes qui étaient jusqu’alors cantonnée au rôle de ménagère ou de courtisane. Elles prouvèrent leurs compétences et elles furent l’égal de l’homme dans ce qu’il a de meilleur.  

Parviendra-t-on à une égalité de droit et de rémunération et à une saine complémentarité hommes/femmes ? La route est encore longue un siècle plus tard. Voir : 

Lyon14-18 les soins aux blessés 

Nous voici dans la dernière partie de Pinocchio. Cet épisode 41 le voit jouant dans un cirque où il sera estropié après une mauvaise chute et ensuite revendu pour sa peau. Il lui reste encore quelques épreuves où il se montrera enfin à la hauteur. Mais pour l’instant  voir : 

Episode41 Le Cirque 

Retour à Zombieland et la suite dix ans plus tard de Bienvenue à Zombieland. C’est tout aussi déjanté et jubilatoire que le premier volet avec les quatre, actrices et acteurs, du premier opus et en plus deux nouvelles recrues Nevada et Madison, l’une sérieuse, cool et efficace et l’autre du genre Barbie avec une cervelle d’oiseau complètement à l’ouest et aux répliques cultes à la Zézette du Père Noël est une ordure . Je ne suis pas accro des zombies car je crains. Mais cette parodie m’a régalé. 

Retour à Zombieland 

Le film de Fabienne Berthaud, réalisé en collaboration avec Corine Sombrun, d’après son livre autobiographique sur le chamanisme, pour les dialogues et le scénario, repose sur la magnifique interprétation de Cécile de France et un superbe casting d’actrices et de non professionnels mongols. Sans oublier la photographie sublime. Un film où il faut faire preuve d’une grande ouverture d’esprit en mettant de côté notre cartésianisme occidental.

Précisons que le phénomène des transes chamanique est désormais étudié par les neurosciences avec le concours de Corine Sombrun. Un film excellent si on se laisse emporter par ce long métrage réalisé sans caricature ni effets trompeurs.

Un monde plus grand