En 1986 Pierre Desproges se produisait sur la scène du Théâtre Grévin, la salle de spectacle du Musée Grévin de Paris et sur les ondes de France-Inter avec ses sketchs intemporels des Chroniques de la haine ordinaire dont je possède l’intégralité en CD et DVD.
Celui-ci sur Sartre, me rappelle l’époque où des intellectuels que l’on qualifiait de gauche, s’extasiaient en allant voir des pièces de théâtre modernes incompréhensibles ou en commentant des sculptures ou peintures dites surréalistes qui étaient des leurres.
L’intelligibilité de l’histoire