Cette jolie fable de Florian montre que le défaut de flatterie peut devenir une qualité et même sauver la vie de celui qui l'utilise. Non seulement l'abeille est sauve, mais la morale aussi car pour sauver sa peau, il est permit de se servir d'un petit cirage de godasse. Je me suis aussi fait plaisir dans la création de l'image. Dans celle de Florian, sans doute pour une question de bonne mœurs, ce n'est pas le soupirant de la coquette mais sa servante qui capture l'abeille.

La coquette et l'abeille