Comme le chantait Brassens, Pétrus se fit un peu voleur pour offrir à la fenotte, une gourmandise et un billet doux, une crotte en chocolat et un petit poème de quatre vers qu'il plaça dans un papier glacé formant un petit tube qu'il effrangea aux deux bouts. La papillotte venait d'être créée. Mais les mégères veillaient et l'une d'elle parla à maître Papillot des rendez-vous entre les deux adolescents.

voir - La papillotte création   

La papillote fut inventée à Lyon et elle résulte d’une histoire émouvante. Une belle rencontre et une histoire qui pourrait être tragique, mais à Lyon sans véritable fin joyeuse, le destin veille. Voici donc ce que le Glaudius Mathevet conta en 1933 aux amis de Guignol sur les origines de cette friandise devenue emblème de noël. La réalité était tout autre. Une simple histoire d’amour contrariée.

  Les papillotes la rencontre 

Il y a des livres qui intriguent lorsqu’on les remarque par la première et quatrième de couverture. L’image de couverture est foisonnante de détails et le synopsis de l’histoire est assez paradoxal. La curiosité l’emporte et le client de la librairie se laisse tenter.

C’est ce qui m’est arrivé pour Connerland de Laura Fernandez. J’ai savouré ce bouquin avec délectation et je le conseille vivement. Avec près de 120 personnages et des rebondissements multiples, il faut prendre son temps et ne pas vouloir aller trop vite pour suivre ce scénario hors normes, d’autant que le final vous surprendra. Magique !  

Mais lisez mon article - Connerland   

Tout le monde connaît l’histoire de Durandal, l’épée légendaire de Roland qui fut à l’origine du « col de Roncevaux » lors de la bataille contre les Sarrasins, mais connaissez-vous l’histoire de l’olifant, le cor du paladin qui alerta Charlemagne lequel arriva trop tard pour sauver la vie de son neveu.

Nous devons ce récit à Léopold Nièpce, vice-président de la Société littéraire de Lyon, historien d’art et précurseur fin XIX^e de la sensibilisation au patrimoine.

Le cor de Roland     

L’horloge astronomique de Lyon Saint-Jean resta muette au XIXe siècle avant la reprise des sonneries en 1903 ; la vétusté bloquera les mécanismes en 1954 avant une restauration complète en 1990 qui durera près de dix ans. En 2013 l’horloge vandalisée ne retrouva son public que six ans plus tard.

Je vous offre en bonus la belle vidéo réalisé par le curé de la primatiale. 

Voir l’histoire de l’horloge du XIXe à nos jours