• À 88 ans, Clint Eastwood, nous offre un film qui aurait pu être violent compte tenu du scénario, mais qui se regarde comme une ballade amusée, et une rétrospective de sa carrière des deux côtés de la caméra, où son talent et son charisme atteint une véritable plénitude.

    C’est sans doute un de ses meilleurs films.

    Voir – La Mule


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  • Philippe Godeau nous fait partager son plaisir de nous montrer les images d’un Sénégal loin des clichés touristiques, lumineux comme le gamin sénégalais Lionel Louis basse qui interprète Yao et que Seydou, Omar Sy, va raccompagner chez ses parents.

    Une balade magnifique à savourer sans réfléchir, juste pour les images, la musique et les gens joyeux et hospitaliers qu’ils vont croiser.

    Voir - Yao


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  • Ce film  de M. Night Shyamalan, est un peu comme une charade à tiroir ou comme le dirait Forrest Gump : Cette histoire, c’est comme une boîte de chocolat on ne sait pas sur quoi on va tomber.

    Surprenant, fantastique, étrange, rythmé, des dialogues riches mais pas bavards car il rappelle les deux précédents opus Incassable et Split et dévoile ce qui nous paraissait un peu obscur.

    La fin d’une trilogie, de super héros, peu conventionnelle et qui se termine par une sacrée pirouette.

    Voir – Glass


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  • Olivier Assayas a réalisé ce film comme une satire partant du monde de l’édition pour continuer sur le numérique, internet et les réseaux sociaux, où circulent  de nombreuses fausses rumeurs et les atteintes à la vie privée, pour nous montrer les modifications que tout cela engendre dans les relations entre les individus et les couples.

    D’où les chassés croisés amoureux qui ne sont qu’une image. Il a sans doute péché par excès car nombre de spectateurs ont trouvé le film trop bavard et trop intello-bobo.

    Dommage, car le jeu des acteurs est très bon surtout pour les deux couples Canet/Binoche et Macaigne/Hamzawi. À voir pour le côté rhétorique et le côté caustique.

    Lire l’article - Doubles vies


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  • Nils Tavernier, nous offre une perle de cinéma avec l’interprétation exceptionnelle de Jacques Gamblin qui porte le film sur ses épaules, aidé de Laetitia Casta formidable interprète de Philomène,la femme du facteur Cheval, dans un rôle difficile.

    L’ensemble du casting, bénéficie aussi d’une direction d’acteurs parfaite.

    Un film bouleversant et magique qui nous fait découvrir ce chef d’œuvre, « Le Palais Idéal » du facteur Cheval.  

    Voir – Facteur Cheval une incroyable histoire


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