• Le trio de vieux fourneaux de Christophe Duthuron : Pierrot (Pierre Richard), Mimile (Eddy Mitchell) et Antoine (Roland Giraud) est parfaitement accompagné de Sophie (Alice Pol) et n’oublions pas les petits rôles de Myriam Boyer et Henry Guybet.

    Une comédie joyeusement enlevée qui ne ménage pas son petit lot d’émotion et de surprises.

    À savourer comme une boisson fraîche en période de canicule.

    Lire mon opinion – Les vieux fourneaux


    votre commentaire
  • Avec Equalizer 2, Antoine Fuqua nous offre le deuxième opus des tribulations de Robert McCall, défenseur de la veuve et de l’orphelin au talent très particulier, qui laisse une chance à ses adversaires avant de les laminer.

    Cette fois, il va protéger un jeune homme en quête de son avenir malgré ses fréquentations douteuses et qui considère McCall comme son père de substitution.

    Plus sombre, mais toujours aussi percutant, nous allons découvrir le passé douloureux de ce redresseur de torts un peu spécial.

    Voir mon opinion sur : Equalizer 2


    votre commentaire
  • Susanna Fogel nous propose une comédie d’action qui nous rappelle « Spy », ce qui en fait ronchonner quelques-uns. 

    Pour ce qui me concerne, je ne vais jamais au cinéma pour faire des comparaisons. C’est comme les gens, quand tu fais un voyage, qui te parlent de leurs autres visites.

    Chaque film est différent et je suis comme Tarantino, j’aime le cinéma pour sa diversité, ses nouveautés et le plaisir qu’il me procure.

    Ceci étant chacun a le droit d’aimer ou pas tel ou tel film et mes opinions bienveillantes n’engagent que moi.

    Mais lisez plutôt – L’espion qui m’a larguée


    votre commentaire
  • Darkest Minds, de Jennifer Yuh Nelson n’est pas un film dystopique, qui fait suite à une « apocalypse ». Il s’agit en fait d’une mutation virale d’enfants dont les survivants sont dotés de pouvoirs jugés effrayants et placés en univers concentrationnaire.

    Ce film pâtit de la comparaison avec Divergente ou le Labyrinthe alors qu’il n’est prétexte qu’à montrer une quête d’identité, de solidarité et d’acceptation, par les ados, de leurs différences.

    Les jeunes acteurs tiennent bien leurs rôles et c’est vrai que ce film s’adresse plus à des adolescents, mais c’est dommage car il est intéressant.

    Lire mon point de vue – Darkest Minds

     


    votre commentaire
  • Haifaa Al Mansour réalisatrice saoudienne, toute en retenue pour ne pas être soupçonnée de provocation, nous propose un film délicat sur la passion et la souffrance qui ont conduit Mary Shelley à la création du livre  "Frankenstein".

    Nous ne sommes pas dupes car ce biopic romancé nous montre bien la dure condition féminine de ce début du XIXe siècle.

    Les acteurs sont tous irréprochables et je conseille ce film car au-delà d’un pamphlet féministe sur l’émancipation, nous assistons à l’éclosion d’un talent méconnu. Tout le monde connaît Frankenstein, mais qui peut prétendre avoir lu le livre de Mary Shelley ?

    Lire l’article – Mary Shelley


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires